De part sa posture singulière, parfois à mi-chemin entre le Conseil et la Formation classique, le ou la Coach doit se mobiliser de manière hollistique lorsqu’il ou elle accompagne ses clients : au niveau corporel, émotionnel et cognitif.

De part sa posture singulière, parfois à mi-chemin entre le Conseil et la Formation classique, le ou la Coach doit se mobiliser de manière hollistique lorsqu’il ou elle accompagne ses clients : au niveau corporel, émotionnel et cognitif.
Ce numéro spécial de la Revue Européenne de coaching, consacré à l’examen de l’éthique, de la morale et de la déontologie, a pour objectif de donner des clés de lecture et de compréhension afin de mieux cerner et discerner ce qui se cache derrière ces trois notions paradoxalement très utilisées mais jamais complètement définies.
Définir la place du coaching non pas là où il devrait être mais là où il est déjà, à partir de son rôle et de sa fonction utile, au-delà des querelles partisanes : telle est l’ambition de cet article.
Gabriel Hannes, coach professionnel, superviseur certifié programme ESQA, conférencier et président de l’EMCC France, a accepté de répondre aux questions de Linkup Coaching sur les enjeux à la fois globaux et spécifiques du Code de déontologie global (dénommé « Code » pour la suite de l’article) dont l’EMCC est signataire.
Interroger la responsabilité du coach, c’est premièrement prendre conscience de
nos obligations envers un métier. Ainsi, une lecture attentive du Code de
déontologie global de l’EMCC à travers l’examen d’exemples éclairants aide à
discerner les formes de responsabilité auxquelles le coach peut être confronté. Car si
le coach doit répondre de ses actions, il n’en demeure pas moins un citoyen comme
les autres.