Le lecteur ou la lectrice trouvera dans ce court article introductif une revue de littérature non exhaustive qui lui permettra d’approfondir le sujet.
La revue de littérature

Le lecteur ou la lectrice trouvera dans ce court article introductif une revue de littérature non exhaustive qui lui permettra d’approfondir le sujet.
De part sa posture singulière, parfois à mi-chemin entre le Conseil et la Formation classique, le ou la Coach doit se mobiliser de manière hollistique lorsqu’il ou elle accompagne ses clients : au niveau corporel, émotionnel et cognitif.
Pour l’entreprise, l’intervention se veut en quelque sorte émancipatrice des mécanismes gestionnaires qui sont susceptibles de la stabiliser indument vis-à-vis de certaines potentialités d’évolution. On a donc affaire finalement à ce que l’on pourrait appeler un coaching organisationnel.
Je propose, dans cet article, d’explorer ces instances comme une ressource pour l’entreprise, un interface de réflexion, de construction et de mise en œuvre dont les équipes de directions ne sauraient se passer de nos jours.
L’intelligence collective est à la mode, et la majorité des entreprises semblent aujourd’hui aspirer à la développer. S’il semble généralement admis qu’elle ne se décrète pas, peut-elle pour autant, s’accommoder de tous les types d’organisations, moyennant simplement quelques ajustements ? Cet article a pour objectif de présenter des éléments de réponse, à partir d’un survol critique des principales formes d’organisation et de leurs évolutions actuelles.
Les disciplines du coaching et de la responsabilité sociétale sont deux disciplines humanistes qui tendent à remettre l’individu au cœur de la prise de décision. Leurs nombreux points de convergence (A) laissent à penser que leur association est bénéfique (B) pour atteindre la performance RSE.
Le coaching est régulièrement critiqué par des chercheurs en sciences sociales, sociologues et psychologues notamment. L’écoute attentive de ces critiques donne des orientations intéressantes pour penser et pratiquer le coaching.
Cet article a pour objectif de revenir sur la conception réductionniste neuroscientifique du Moi conscient. Nous la formulerons dans un cadre philosophique, en exposant par là-même ses origines historiques, qui sont elles-mêmes philosophiques.
La charge mentale, qui est l’ensemble des sollicitations du cerveau pendant l’exécution d’un travail, peut être stimulante au même titre que le stress ou devenir problématique à plusieurs niveaux que ce soit dans la sphère privée (conjoint/ enfant, amis, famille) ou la sphère professionnelle (collègues, hiérarchie, fournisseurs, clients).
Diego Torraca et Gustavo Sol échangent autour des émotions et des neurosciences : La classification des émotions au sein d’une culture est en elle-même problématique, dans le sens où nous nommons des concepts généraux, des affections qui sont d’ordre extrêmement intimes. Quand nous parlons de neuroscience, le problème est encore plus profond : nous tentons de traduire en numéros et graphiques des émotions singulières et complexes.