Nos prises de décisions sont-elles toujours rationnelles ? Pouvons-nous agir de manière irrationnelle ? Comme le soulignait Hobbes, seul l’homme a « le privilège de l’absurdité ». En s’appuyant sur des études menées dans le champ des sciences comportementales, il devient possible de décrire de manière plus fine les différentes modalités du processus de prise de décision et les différentes fonctions cognitives qui sont mobilisées.
De la crise environnementale aujourd’hui, d’aucuns pensent qu’ils n’y sont pour rien, ou pour si peu que rien ne sert de changer. Avec l’écologie profonde, Arne Naess nous dit : vous y êtes pour beaucoup car la nature compte sur vous. Dans cet article, nous essayons d’y voir clair dans cette histoire de comptes en introduisant à la philosophie d’Arne Naess.
En lieu et place d’une description objective du monde hospitalier, qui ne saurait révéler la vérité du terrain, cet article vise à dépeindre de manière systémique le quotidien du monde hospitalier. Adoptant ainsi le point de vue de l’éthique du care selon lequel tout aperçu de la vie éthique d’un milieu participe à la fois du souci et de « l’attention porté à », ainsi que de ce qui est important pour nous, cette perception morale permet d’appréhender au mieux la relation de soin.
Coaching au féminin
A travers trois thèmes déclinés, le coaching au féminin, le coaching et le féminisme et l’accompagnement des femmes, une autre voie se dessine, celle d’un métier loin des tentations typologisantes, psychologisantes, enfermantes et réductrices.
Les auteurs du 4
Chloé Bonnet, Malik Bozzo-Rey, Chloé Chapsal, Marion Genaivre, Gabriel Hannes, Gérald Portocallis, Cédric Tcheng
L’optimisation de nouveaux leviers de transformation et de développement de l’entreprise, sa capacité de régulation ne peuvent se concevoir que dans une approche globale intégrant notamment les interactions sociales et humaines. Le coaching stratégique permet un accompagnement de l’entreprise dans cet environnement. Une réflexion posée par cet article à la croisée de la sociologie et de la psychologie sociale.
Au sein de cette deuxième partie de l’introduction à la théorie spinoziste des sentiments, nous nous intéresserons a la légitimité contemporaine de cette même théorie, en présentant les travaux du neurologue américain Antonio R. Damasio tels qu’ils sont exposé dans son livre Spinoza avait raison.
Les auteurs du numéro 3
Les auteurs de ce numéro sont : philosophes, sociologues, coach.
Alatorre R., Laroussinie T., Torraca D. et Wittorski R.
Dans cette deuxième partie, en partant de la reconnaissance sympathique, nous allons analyser les phénomènes de la sympathie selon les quatre modalités développées par Scheler, à savoir la sympathie en tant que partage total du sentiment, la sympathie en tant que compréhension du sentiment, la reproduction affective et la fusion affective. Cette analyse nous montrera les raisons pour lesquelles la sympathie doit être l’évènement primordial dans la reconnaissance d’un autre que moi-même.
Ce compte rendu critique nous permettra de proposer aux lecteurs un résumé argumenté du livre L’imaginaire national de Benedict Anderson, et ainsi d’aborder la question de la constitution d’une identité collective qui est déterminante pour les individus, à savoir l’identité nationale. Nous espérons ainsi permettre au lecteur de mieux comprendre, en faits, certains phénomènes de construction d’identité collective, thème par ailleurs présenté dans l’article de Richard Wittorski, « La notion d’identité collective », dans ce même numéro.