Notre hypothèse sous-jacente est que les artefacts visuels ont un potentiel rôle particulier à jouer dans le processus de coaching à condition de ne pas les cantonner à une simple catégorie d’outils enrichissant la palette méthodologique du coach.

Notre hypothèse sous-jacente est que les artefacts visuels ont un potentiel rôle particulier à jouer dans le processus de coaching à condition de ne pas les cantonner à une simple catégorie d’outils enrichissant la palette méthodologique du coach.
Le coaching apparaît comme un levier pour conduire l’individu dans une logique de résilience qui favorise la flexibilité intellectuelle et notre capacité à agir.
Cet article est une version condensée de mon mémoire de fin de formation de coach consultant, en conséquence les sources de réflexions qui ont alimenté cet article me sont venues relativement tôt pendant ma formation de coach consultant. Telle ou telle pratique est-elle efficace ? Quelles différences entre deux pratiques alternatives sont mesurables ? Sur quelles bases théoriques et expérimentales je me base pour construire ma pratique ?
Je vous propose dans un premier temps d’appréhender la notion d’inceste selon diverses approches, et finir sur ses conséquences. Et, dans un second temps, répondre à la question de l’accompagnement de ces phénomènes par le coaching.
La résilience relève-t-elle d’une faculté naturelle, innée, ou à acquérir, marche qui nécessite alors d’être accompagnée ? Nous pensons que le coaching que ce soit dans une approche personnelle ou professionnelle, a toute sa place pour accompagner l’individu, dans une connexion à lui (dans l’acception tant psychologique que celle des Neurosciences), une mobilisation de ses ressources, propice à plus de créativité, et alors favorable à son épanouissement.
Le coach reste bien sur soucieux de réduire et/ou supprimer les causes génératrices de RPS, mais son professionnalisme permet de réunir les conditions du « mieux travailler ensemble » durablement. Les échanges, partages réalisés au travers de l’exercice d’évaluation et de prévention des RPS, contribuent à une plus grande cohésion d’équipe, et à une performance accrue.
Dans cette contribution, dans le contexte d’une recherche de l’éthique appropriée à l’IA et en dépit du caractère apparemment iconoclaste de cette position, nous voulons examiner si et comment cette dernière peut (en dépit de ses limites actuelles) apporter à l’activité de coaching, définie comme un accompagnement ponctuel d’un individu ou d’un groupe pour permettre une prise de conscience, un changement de posture, pour amorcer et/ou mettre en œuvre un changement vers un objectif ciblé et/ou mieux traverser une situation difficile.
L’objectif de ce travail de recherche est d’observer en quoi le coaching peut accompagner cette transition vers de nouveaux modes de travail et comment intégrer ses outils à la conduite de projet territorial.
Nous montrerons dans cet article que l’intelligence émotionnelle est source de performance en entreprise et nous verrons comment le coaching peut être une approche pertinente et adaptée à l’apprentissage de la régulation des émotions en interne. Alors comment restaurer les émotions au travail et préparer l’entreprise à apprendre à développer son intelligence émotionnelle ? Comment l’accompagner dans ce processus ? En quoi le coaching est-il une méthode d’accompagnement utile à la résolution de ces « conflits » émotionnels internes ? Nous détaillerons ces éléments et mettrons en perspective dans cet article.
Cet article propose une réflexion sur la manière dont les coachs professionnels peuvent, avec leurs compétences et leur posture neutre, accompagner les organisations dans leurs projets de transformation. Face à des changements culturels, technologiques et organisationnels, quels sont les apports du coach ? Comment amène-t-il une meilleure acceptation et une adhésion des collaborateurs au changement ? Et finalement, à l’heure où le terme de coaching est utilisé partout et parfois à tort, comment redonner légitimité et crédibilité au rôle du coach professionnel certifié dans les organisations ?